Il y a quand même des expressions qui donnent à réfléchir...
Je prend un exemple connu : Lorsque l'on rate un rendez-vous de très peu, on peut dire :
"On s'est ratés de rien" ou bien encore : " On s'est ratés d'un cheveu" et à priori, ça veut dire la même chose. Vous croyez ça vous ?
Pas moi, je dis non !
Parce que "rien" par définition c'est "rien"... Donc si l'on s'est ratés de rien, c'est qu'on s'est pas ratés. Il me semble que c'est logique ?
Quand à se rater d'un cheveu, ça n'est pas rien, surtout pour ceux qui les perdent... et oui ! nous ne sommes pas tous égaux devant la valeur d'un cheveu..
En plus je trouve que c'est un non-sens de dire : " Tiens je perd mes cheveux" parce que si l'on s'en aperçoit, c'est qu'on les voit lamentablement échoués dans nos lavabos, conclusion, si on les voit, c'est qu'ils sont pas perdus, mais tombés.
D'ailleurs à ce sujet, celui qui a inventé les lavabos ne devait surement pas souffrir de calvitie, sinon, il les aurait pas fait blancs, mais c'est une autre histoire.
L'autre jour, après m'être lavé la tête, je vois dans ma douche plein de cheveux que j'avais tombés, j'appelle ma fille : " Marie, viens voir les cheveux que je tombe, c'est quand même quelque-chose ça ! "
Alors conclusion ! si c'est quelque-chose, c'est bien que c'est pas rien ?
Mais le pire, devinez ce qu'elle m'a répondu ?
"Mais papa, ne t'inquiète pas c'est rien ! "
Alors moi qui n'ai pas pour habitude de me faire des cheveux pour rien, ça a été direct prise de tête... donc devinez ce que j'ai fait ?
Je suis parti me coucher, parce que quitte à se prendre la tête, autant le faire à tête reposée...
Roland
Je prend un exemple connu : Lorsque l'on rate un rendez-vous de très peu, on peut dire :
"On s'est ratés de rien" ou bien encore : " On s'est ratés d'un cheveu" et à priori, ça veut dire la même chose. Vous croyez ça vous ?
Pas moi, je dis non !
Parce que "rien" par définition c'est "rien"... Donc si l'on s'est ratés de rien, c'est qu'on s'est pas ratés. Il me semble que c'est logique ?
Quand à se rater d'un cheveu, ça n'est pas rien, surtout pour ceux qui les perdent... et oui ! nous ne sommes pas tous égaux devant la valeur d'un cheveu..
En plus je trouve que c'est un non-sens de dire : " Tiens je perd mes cheveux" parce que si l'on s'en aperçoit, c'est qu'on les voit lamentablement échoués dans nos lavabos, conclusion, si on les voit, c'est qu'ils sont pas perdus, mais tombés.
D'ailleurs à ce sujet, celui qui a inventé les lavabos ne devait surement pas souffrir de calvitie, sinon, il les aurait pas fait blancs, mais c'est une autre histoire.
L'autre jour, après m'être lavé la tête, je vois dans ma douche plein de cheveux que j'avais tombés, j'appelle ma fille : " Marie, viens voir les cheveux que je tombe, c'est quand même quelque-chose ça ! "
Alors conclusion ! si c'est quelque-chose, c'est bien que c'est pas rien ?
Mais le pire, devinez ce qu'elle m'a répondu ?
"Mais papa, ne t'inquiète pas c'est rien ! "
Alors moi qui n'ai pas pour habitude de me faire des cheveux pour rien, ça a été direct prise de tête... donc devinez ce que j'ai fait ?
Je suis parti me coucher, parce que quitte à se prendre la tête, autant le faire à tête reposée...
Roland
6 commentaires:
Et tu imagines quand c'est un cheveu dans la soupe ??? Ou bien se les couper en quatre ??? Waow !!! quelle prise de tête, sans cheveu !!!
Bisous.
Véro.
Permets-moi de relever un petit rien dans ta prose: Tes cheveux, toi, tu ne les perds pas, tu les tombes. je trouve l'expression mignonne! je sais qu'on peux tomber des filles ou sa veste, pourquoi pas les cheveux! mais vas-y molo, la calvitie, ça ne sied pas à toutes les têtes!
quant aux lavabos blancs, si tes cheveux blanchissent avec le temps, il n'y aura plus de soucis, plus besoin de se les arracher!
marie-ange
Ah ! Quelle merveille Roland !
Pour un peu, enfin presque rien, un cheveu quoi... j'ai pensé : " Mais c'est du Devos" !!!!!
Un grand merci à toi pour cet excellent moment de lecture.
Bises du Nord... ensoleillé.
(Si c'est possible ! sourire)
Clo
j'aimais Devos parce qu'il nous faisait des trucs comme ça, pas de quoi se faire des cheveux blancs pour deux sous !
merci, Roland, pour ce drôle de texte !
Mon cher Roland,
Je viens de lire ce petit récit 'écheveulé' et je dois dire que je n'ai JAMAIS remarqué que tu perdais les cheveux ! Crois-moi je vais jeter un coup d'oeil plus approfondi sur ce phénomène à la prochaine réunion............
En tout cas, continue à nous faire RIRE.
Elisabeth B
Dès que j'ai eu lu ta prose, j'ai pensé à Devos, mais comme les filles y ont pensé aussi, je te renvoie à leurs commentaires.
Bravo !
Raymond
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