mercredi 25 novembre 2009

C'est l'Amour tout simplement...

Ces gentilles attentions du quotidien nous font du bien.
Les petits gestes de tous les jours, ce gentil “bonjour”.
Voici mon bisou coquin et dans le cou surtout le matin.
Ce très joli regard tout en malice du Bernard complice.

Il m’enlace, m’embrasse et cela me délasse.
Caresse osée remplie de tendresse appréciée.
Un traversin parfumé, un gros câlin partagé,
Des galipettes ! Et voilà que l’on perd la tête.

Allongé de biais sur le côté, drap frais déplié,
Dormait à poings fermés mon coquin préféré.
En pyjama bleuté il s’endort comme un bébé,
Dans ce beau lit en pin qui abrite notre destin.

Des confidences dévoilées au creux de l’oreiller,
Où se promène la main dans ses cheveux frisés.
Une pensée au marché pour mes plats préférés,
Ce petit repas mijoté m’attendait pour souper.

Souvent il me bichonne et toujours se la donne.
Moi je l’empoisonne, chantonne, m’abandonne
Pour l’harmonie et la poésie, c’est toute ma vie.
A chacun de nous sa liberté et sa vie respectée.

De “Peruchette” à son “Beau Matou”… Bisous.

Un petit mot pour te dire...


U n petit mot pour te dire je t’admire, tu m’inspires.
N on ! Trop beau ton sourire, tu m’attires, c’est pire.

P ersonnage étonnant, à ton âge, tu es dans le vent,
E t par ta présence, ton absence, je suis en transe.
T endrement, je dédie ce poème, à l’être suprême.
I l t’en faudrait davantage, pour être dans le cirage.
T out me va bien et tout va très bien, ange gardien.

M ais on se cherche, se recherche, prends la perche,
O u alors “dors, mon trésor”, dans un corps à corps,
T ellement endiablé, que je vais y laisser, ma santé.

P ourtant mien, je tiens beaucoup à lui, aujourd’hui.
O n se chamaille, s’encanaille et on s’adore, encore…
U ne vie si bien remplie de plaisirs, désir et soupirs.
R iche, l’acrostiche fétiche, à la corniche, ma biche !

T e dire “Je t’aime, à la bohême” sans lire ce poème,
E n son île singulière, si particulière, à la traversière.

D évoiler ses sentiments, partager les bons moments,
I l y a un secret gardé et une vérité cachée, c’est vrai !
R egard complice tout en malice, c’est le feu d’artifice
E t te remercie d’agrémenter ma vie, je suis ravie o’ lit.

Cet acrostiche a reçu le Troisième accessit au Grand Concours littéraire du Monde francophone 2008 de l’Académie Poétique et Littéraire de Provence (catégorie poésie libre).

samedi 21 novembre 2009

Senses et Senteurs

Je te sens.
Je te sens derrière moi.
Je sens l'effleurement de ton doigt
Sur mon épaule.
Je sens la rosée perlée
De tes lèvres à mon cou.
Je sens la saveur musqué du soir
Qui embrasse mon corps.

Senteur de désir.

Je te sens.
Je sens le regard de tes yeux
A demi-clos
Qui s'approchent des miens
Et ce parfum boisé
Qui est le tien.
Je sens l'ambre chaud
Quand tes bras m'enlacent.

Senteur de désir.

Je te sens.
Je sens l'odeur de flammes brûlantes
Quand nos sangs s'emmêlent.

Senteur de plaisir.


Elisabeth Derwent Bayet

dimanche 8 novembre 2009

Remise du Trophée

10 octobre 2009 remise du grand prix
de la ville à Alice Hugo